|TP| Le fardeau

L'incompréhension se lisait sur le visage de Brook. On lui avait parler de ce tribunal si l'on peux dire ? Il avança prudemment vers l'avant. Il ouvrit la bouche pour formuler des mots quand le juge lui fit signe d'arrêter immédiatement. Brook se tut alors observant les alentours. Tout était blanc. C'est étrange il n'avait jamais ressentit d'émotion humaine loin d'être sociale. Sauf que là difficile de dire c'était quoi cet douleur... C'était comme-ci un fardeau pesait sur son dos. Et ce fardeau était douloureux, très douloureux. Il voulait qu'on lui enlève, après quelques minute à endurer celui-ci il en avait assez. Il n'avait en aucun cas connaissance de ce juge alors si vous pensez que c'est lui qui allait l'empêcher de parler. Brook n'était pas du genre à avoir du respect envers les autres, très apathique de leur situation. Impossible, impossible ses yeux, du liquide coulait.. Des larmes. Au fur et à mesure que le juge articulait les mots "Meurtres" "crimes" "violence" et tout autres synonymes Brook continuait de pleurer.
Il ne l'avait JAMAIS fait excepter la fois ou il s'avait couper sévèrement dans sa jeunesse.
À la fin du jugement un homme tout en noir vint le chercher et le jeter dans un trou sans fin, c'était donc cela la prison ? Un trou à peine assez gros pour Brook et l'obscurité éternel ?
Brook regretta tout ce qu'il avait commis. Il avait compris, oui oui il avait compris
mais trop tard.

L'incompréhension se lisait sur le visage de Brook. On lui avait parlé de ce tribunal, si l'on peut dire. Il avança prudemment. Il ouvrit la bouche pour formuler des mots (ou tout simplement pour parler) quand le juge lui fit signe d'arrêter immédiatement. Brook se tut alors, observant les alentours. Tout était blanc. C'était étrange. Loin d'être social, il n'avait jamais ressenti d'émotion humaine. Sauf que là, difficile de dire qu'elle était cette douleur...C'était comme si un fardeau pesait sur son dos. Et ce fardeau était douloureux, très douloureux. Il voulait qu'on le lui enlève, après quelques minutes à endurer celui-ci car il en avait assez. Il n'avait en aucun cas connaissance de ce juge, alors si vous pensiez que c'était lui qui allait l'empêcher de parler. Brook n'était pas du genre à avoir du respect envers les autres, très apathique de leur situation. Impossible, impossible...ses yeux, du liquide coulait..des larmes. Au fur et à mesure que le juge articulait les mots "meurtres", "crimes", "violence" et tout autre synonyme, Brook continuait de pleurer. Il ne l'avait JAMAIS fait excepté la fois où il s'était coupé sévèrement dans sa jeunesse.
À la fin du jugement, un homme tout en noir vint le chercher et le jeter dans un trou sans fin, c'était donc cela la prison ? Un trou à peine assez gros pour Brook et l'obscurité éternelle ?
Brook regretta tout ce qu'il avait commis. Il avait compris, oui oui il avait compris...mais trop tard.

Texte avant correction:

 

L'incompréhension se lisait sur le visage de Brook. On lui avait parler de ce tribunal si l'on peux dire ? Il avança prudemment vers l'avant. Il ouvrit la bouche pour formuler des mots quand le juge lui fit signe d'arrêter immédiatement. Brook se tut alors observant les alentours. Tout était blanc. C'est étrange il n'avait jamais ressentit d'émotion humaine loin d'être sociale. Sauf que là difficile de dire c'était quoi cet douleur... C'était comme-ci un fardeau pesait sur son dos. Et ce fardeau était douloureux, très douloureux. Il voulait qu'on lui enlève, après quelques minute à endurer celui-ci il en avait assez. Il n'avait en aucun cas connaissance de ce juge alors si vous pensez que c'est lui qui allait l'empêcher de parler. Brook n'était pas du genre à avoir du respect envers les autres, très apathique de leur situation. Impossible, impossible ses yeux, du liquide coulait.. Des larmes. Au fur et à mesure que le juge articulait les mots "Meurtres" "crimes" "violence" et tout autres synonymes Brook continuait de pleurer.
Il ne l'avait JAMAIS fait excepter la fois ou il s'avait couper sévèrement dans sa jeunesse.
À la fin du jugement un homme tout en noir vint le chercher et le jeter dans un trou sans fin, c'était donc cela la prison ? Un trou à peine assez gros pour Brook et l'obscurité éternel ?
Brook regretta tout ce qu'il avait commis. Il avait compris, oui oui il avait compris
mais trop tard.

Bonjour, je me suis permis d'apporter les corrections nécessaires à ton texte que j'ai adoré malgré les quelques erreurs (mais qui n'en fait pas )

Amiral Kunkka a écrit:

L'incompréhension se lisait sur le visage de Brook. On lui avait parler de ce  tribunal si l'on peux dire ? Il avança prudemment vers l'avant. Il ouvrit la bouche pour formuler des mots quand le juge lui fit signe d'arrêter immédiatement. Brook se tut alors observant les alentours. Tout était blanc. C'est étrange il n'avait jamais ressentit d'émotion humaine loin d'être sociale. Sauf que là difficile de dire c'était quoi cet douleur... C'était comme-ci un fardeau pesait sur son dos. Et ce fardeau était douloureux, très douloureux. Il voulait qu'on lui enlève, après quelques minute à endurer celui-ci il en avait assez. Il n'avait en aucun cas connaissance de ce juge alors si vous pensez que c'est lui qui allait l'empêcher de parler. Brook n'était pas du genre à avoir du respect envers les autres, très apathique de leur situation. Impossible, impossible ses yeux, du liquide coulait.. Des larmes. Au fur et à mesure que le juge articulait les mots "Meurtres" "crimes" "violence" et tout autres synonymes Brook continuait de pleurer.
Il ne l'avait JAMAIS fait excepter la fois ou il s'avait couper sévèrement dans sa jeunesse.
À la fin du jugement un homme tout en noir vint le chercher et le jeter dans un trou sans fin, c'était donc cela la prison ? Un trou à peine assez gros pour Brook et l'obscurité éternel ?
Brook regretta tout ce qu'il avait commis. Il avait compris, oui oui il avait compris
mais trop tard.

Des sentiments s'évadent de ce texte... Vraiment, j'aime beaucoup le contexte de ton histoire, j'ai compris certaines choses même si d'autres peinent à s'illuminé dans ma tête, mais l'importance est que le lecteur sait vraiment là où tu veux venir.
Le principal défaut vient de la formulation de certaines phrases, certaines restent assez stylisées mais d'autres gardent une bizarrerie dans leur façon d'être écrites, mais bon je sait que tu aime laisser ta main écrire toute seule alors je sait d'où tout ça vient

Et oui c'est exactement ça mais là j'arrête là je commence à réellement travailler alors c'est pour ça que je poste plus rien.