C'est mon premier livre donc désolé si il est dans la mauvaise catégorie.
(nombreux chapitre très courts)re(il s'inspire d’univers que j'aime bien)
Prologue
Juin
1960, Nevada: projet
Croisement , directeur du projet : Henri Van Plagegeist
ingénieur en physique quantique retrouvé mort tué par type d'armes inconnu. Le
projet a été enterré.
Chapitre I
Antoine jubilait, enfin à 15 ans il était le premier adolescent à être admis dans la célèbre zone 51 l'endroit où le corps de son grand père fut découvert tranché en deux au niveau du bassin. Il avait choisi ses deux cousins : Simon et Romain pour l'accompagner. Ils achevaient leurs préparatifs pour leur voyage: ils devaient se retrouver à Deauville pour prendre le train jusqu'à Paris où ils prendraient l'avion. Ils devraient être arrivés à New York pour le lendemain .De là ils changeraient d'avion pour aller jusqu'au Nevada. Ils arrivèrent donc à 18h00 heure locale.
"Hallo,Ich bin Herr Müller. Mais je suppose que vous vous voudrez continuer cette discussion en français." Il était de grande taille et aussi fin que deux et deux font trois. Ses petits yeux gris et perçants semblaient scruter votre âme.
"Je suis Antoine Van Plagegeist et voici mes deux cousins Simon et Romain. Nous sommes les vainqueurs du concours "Etrangement Paranormal".
"Bien, répondit notre interlocuteur, veuillez me suivre. Comme vous le devez le savoir votre grand-père, Dieu ait son âme, travaillait ici dans l'aile centre aujourd'hui désaffectée. Mais passons...Vous aurez les chambres 7, 6, 5.
Chapitre II
- Bon Antoine, qu'est-ce qu'on fait? dit Romain.
Bien qu'étant le cadet des trois, il faisait la même taille qu' Antoine, ses cheveux châtain foncé étaient coupés courts et laissaient voir ses yeux verts. Il était bâti comme un rugbyman et pratiquait le noble sport.
- On attend, du moins pour le moment et après on verra, rétorqua Simon.
Simon était l'ainé mais le plus petit et le plus fin, d'ailleurs cette physionomie lui permet d'être le plus rapide et le plus agile des trois. Il était de ce fait le capitaine de l'équipe d'athlétisme de son collège.
- Attendre, toujours attendre, vivement qu'on visite la base. Il parait qu'ils ont le meilleur labo des Etats-Unis! Bon en attendant je vais prendre ma douche. A tout'e. C'était Antoine qui venait de parler. Du haut de ses 15 ans, c'était le chef des trois. Bien qu'étant assez grand et mince, il était exactement l'entre-deux de Simon et de Romain. Ses yeux étaient si foncés que l'on avait parfois l'impression qu'ils étaient noirs. Si Romain était friand de science et Simon fort en négociation, Antoine, lui, était le tacticien de l'équipe.
Une heure après, quand les trois cousins furent douchés et reposés, Müller revint accompagné de trois gardes armés de fusils d'assauts AK47.
Chapitre III
- Rebonjour, s'exclama Müller avec son traditionnel accent allemand. Comme convenu après la visite de ce soir, vous pourrez assister à l'exécution du projet de votre choix. Mais d'abord allons diner.
Mûller repartit avec les trois garçons, le tout escorté de gardes. Avant d'arriver dans la salle à manger, ils franchirent plus d'une dizaine de contrôle.
- J'ai compté une quinzaine de contrôle, affirma Antoine.
- A peu près autant dit Simon.
- Sans compter tous ceux qu'ils ont dissimulés, pesta Romain. S'ils nous scannent qu'ils ne dissimulent pas leurs appareils! J'ai l'impression d'être un bagnard.
A peine eurent ils fini de parler qu'un homme frisant la cinquantaine entra. Il mesurait 1.60 mètre et avait autant de cheveux que Simon était chauve. Mais il était si mince qu'en comparaison ce dernier était obèse.
- Hello I am Mr Kenedy, dit le petit homme.
- Comme le président qui s'est fait tué?
- Très drôle mais non, je suis le colonel qui a en charge la sécurité de la base...Mais passons et allons diner.
La soirée passa ainsi que la nuit sans trop de problème. Le lendemain, les trois cousins assisteront à l'exécution d'un projet de leur choix comme prévu. Et naturellement Müller vint les chercher avec un magnifique smoking.
- On ne va pas porter ça quand même, s'étrangla Simon.
- Enfilez ça, fut la seule réponse de Müller. Et d'ailleurs quel projet avez-vous choisis, continua-t-il.
- Nous avons choisis..., dit Antoine, Croisement.
Chapitre IV
- D'accord, répondit Müller vraisemblablement embarrassé, rendez-vous là-bas dans une demi-heure.
A peine fut-il sortit que les trois amis se mirent en tenue en parlant de la tête qu'avait fait le professeur en apprenant le nom du projet choisi.
- S'ils espèrent nous faire renoncer c'est raté, vociféra Romain.
- Peut-être mais ça fait un quart d'heure qu'on attend râla Simon.
- On a rien sans rien rétorqua Romain.
- Bon, quand vous aurez fini de vous battre, appelez moi!
Cette phrase d'Antoine coupa nette la conversation et de plus Müller venait d'arriver.
- Je vois que vous n'avez pas abandonné, commença-t-il.
- Alors on y va, attaqua Romain.
- D'accord, soupira t il, suivez moi.
Lorsqu'ils arrivèrent dans le hall, ils tombèrent nez à nez avec une dizaine de gardes...raides morts.
Chapitre V
- Si c'est une blague, elle n'est pas drôle, trembla Romain.
Müller se précipita vers un des gardes encore vivant en criant : "Qui a ouvert le portail, bandes d'idiots!"
- On le mettait à chauffer, il s'est ouvert et des monstres sont sortis. ils étaient blanc et noir, leurs armes étaient noires et tiraient des rayons rouges...
Ce furent ces derniers mots. De l'électricité passa dans l'air.
- Bizarre, dit Müller, il semblerait que le portail puisse être ouvert à distance.
Comme pour confirmer sa théorie, le portail s'ouvrit.
Chapitre VI
Malgré sa pratique du noble sport, Romain ut à peine le temps de mettre un crochet du droit qu'il se fit assommer d'un coup de cet étrange arme. Antoine assomma le garde que Romain avait envoyé au sol avait une chaise et Simon les fit courir au moins dix bonnes minutes avant qu'un tir paralysant l'atteigne et le mette K.O. Müller, lui, s'enfuit à toute jambe.
Quand il revint il trouva la salle vide.
- Où sont ils, rugit il?
- Monsieur les caméras indiquent que les gamins ont été emportés par les monstres en blanc, répondit l'un des gardes.
- Non sans blague, explosa Müller, je n'avais pas remarqué.
- Müller, tonna une voix, cessez de râler et n'espérez pas les ramener.
- Mais pourquoi mon colonel?
- Parce qu'ils ont piraté le système et que le portail est maintenant inutilisable.