Thème à écouter en lisant le texte :
https://www.youtube.com/watch?v=UuofG8a7EEkC'est un pièce sombre et humide embaumé d'une odeur insupportable que l'ados se réveille. L'adolescent en question se nomme Léo Mercier, 14 ans. C'est un populaire du collège relativement pervers et méchant. Ce jeune homme se trouve enchaîné avec une bosse sur la tête pour signalé qu'il a été frappé. Il lui a fallut peu de temps avant qu'il prenne de l'anxiété.
Soudain, on entend des pas sourd suivit d'une chansonnette mélancolique et sinistre mêlé à des rires déjantés. On pouvait entendre quelque chose traîner derrière.
« C'est un soir sans lumière, que mon meurtre est prêt …
Attention à toi petite lumière, l'ombre risque de te prendre …
T'éteindre enfin à jamais, pour enfin avoir la paix ... »
Puis la mélopée s'arrête comme tout les autres sons. On peut voir dans la pénombre une fille âgée de 13 ans fixer le garçons prisonnier. Elle sourit avant de dire d'une voix glaciale :
« Bonsoir, Léo. Tu as bien dormi ? »
L’enchaîné regarde la jeune fille. Il semble la connaître et prend soudainement peur. Elle a des yeux de couleurs marrons profonds et des cheveux châtains et un visage angélique mais dégradé par les tâches de sangs et les crevasses sous les yeux que les larmes ont fait. Ses vêtements sont à moitié déchiré. Son haut devait être blanc mais il est honteusement sali par toutes saletés immondes
que l'on peut imaginé. La gamine s'approche de lui et le regarde avec temps d’innocence et d'admiration. Pourquoi doit-on avoir peur d'une enfant si adorable ? La gamine s'approche doucement du garçon. Enfin il parvient à dire pris par la panique :
« Relâche moi, j'te connais même pas et puis qu'est-ce que je fous ici ?! Qu'est-ce que tu vas m'faire hein ?! »
L'adolescente rigole discrètement avant d'enlever son sourire de son visage. Elle caresse doucement le torse vêtue du condamné avant de le prendre violemment et de le déchiqueter. Son regard s'assombrit de plus en plus pendant que son doigt se balade sur le ventre du gars. Il respire bruyamment transpirant comme il n'a jamais pu transpirer. C'est alors qu'elle fouille dans sa poche et croit avoir trouvé se qu'elle cherche. C'est quelque chose ressemblant à un dé à coudre mais comportant une aiguille à son extrémité. Elle regarde le garçons alarmé et plante le dé à coudre pointu dans son nombril. Elle persiste pour aller le plus loin possible et à le déplacer de son centre mais sans succès. La seule chose qu'elle peut se contenter, se sont les cris terrifié et souffrant de sa victime. Elle se mit à rigoler jusqu'à cesser son acte. Du sang coule du long du nombril du garçon. Il halète en gémissant des petits cris.
« S... *insulte* !!!! Qu'est-ce qu'il te prend d'me faire ça ?!! Libère moi tout de suite !!! »
La jeune fille élève alors son regard mélancolique vers lui avant de lui faire un sourire dangueureux. Mais qu'a-t-elle en tête ?
« Je pensais que tu avais plus de muscle que ça. Oh et aussi … Moins pleurnicheur. Pfft …. T'es qu'une lopette qui se prend pour le roi et le plus fort de tous. »
Elle lui fou alors un gros poing dans la joue plusieurs fois en criant « Lopette » à chaque coups. Enfin elle entend quelque chose tomber. Un bruit de bois. Elle s'arrête et regarde à ses pieds où se trouve une batte. Elle a saisit et pouffe de rire avant de dire :
« Oh mais dit, c'est pas toi qui aime le sexe et qui veut baiser chaque fille bonne ? Dit, est-ce que tu voudrais le faire avec moi ? Ah non c'est vrai je ne suis pas assez populaire pour toi. »
C'est alors que la jeune fille vient baisser délicatement le jean du garçon. Par la suite elle joue comme une strip-teaseuse sur lui avant de lui glisser à l'oreille : « Non, je ne suis toujours pas assez bien pour toi ? Ah oui tu as trouvé un défaut chez moi. Mon cul ne te convient pas hein ? Mais pourquoi alors tu ne me l'a pas dit en face que sur le dos hein ? »
L’inquiétante fille se mordit la lèvre avant de remettre ses pieds au sol. Elle ramasse alors sa batte. Léo se remet à trembler de peur et essaie de raisonner la corrompue :
« Tu … Tu vas me faire quoi là ?!! Réveille-toi !! Je, euh … T'es bonne voilà ! C'est tout s'que tu voulais ?! T-tu vas pas oser de toute manière à faire s'que tu vas faire … Alors repose moi et laisse moi partir, j'te jure que je ne te dirais rien sur se que tu m'as fait ! »
La gamine n'écoute pas à mot et frappe brutalement dans les parties génitales de l'homme. Un silence se fait, on ne peut qu'entendre un cri déchirant de Léo. Mais la folle ne s'arrête pas là. Elle ne cesse de donner plusieurs coups, au moins une centaine de fois. La fille rigole avec sadisme.
Enfin elle s'arrête. Le bas du jeune homme est complètement mouillé. Pas seulement de sang mais d'une autre substance. La fille balance la batte derrière elle et pointe du doigt le gars enchainé :
« Castrééééééééééééééééé !!! T'as plus de couille maintenant t'as plus rien !!! Voilà s'que ressentent tes cleb's quand ils ont plus d'couille ! »
Puis elle enchaîne avec un rire amusé et terrifiant. Le jeune homme commence à pleurer discrètement pour éviter de crier à l'agonie ses douleurs et sa situation. Il n'a plus la force de lui répondre. Puis la gamine revient avec un chariot. On ne peut qu'à peine apercevoir se qu'il y contient dans ce chariot métallique. Elle sort alors une pince ronde sur les bords comme pour prendre qu'elle que chose d'ovale. Elle fait baisser un levier qui fait « coucher » l’enchaîné. C'est sur une table que Léo est déposé. La gamine approche du visage de Léo qui sent son cœur battre à tout rompre et sa respiration bruyante. Soudain, elle glisse l'objet entre la paupière et saisit alors l’œil. Alors, l'adolescent prisonnier gémit de surprise avant de respirer fortement et de crier lorsque sa meurtrière tire sur sa prise. Un son écœurant comme un « CRAC » . Léo hurla à nouveau de souffrance avant de se calmer un peu et reprendre sa respiration rapide et les larmes aux yeux … Ou plutôt à l’œil.
La jeune fille ricane d'une façon si douce et innocente mais ce qu'elle a fait est contraire à toute nature. Elle s'éloigne de sa prise. Elle pose l’œil sur une table, pris un couteau et le tranche. Ensuite, elle le presse dans un presse-citron se qui en fait un jus. Enfin, elle retourne voir l'anéanti n'arrivant plus à se plaindre avec le jus de sang. La fille lui sourit gentiment et lui dit :
« Tu as soif ? »
Elle pris les joues de Léo avec ses doigt puis met une pression pour que ces lèvres font une ouverture sur la bouche puis cet alors qu'elle lui fait avalé ce jus immonde qu'il recrache sur le visage ensanglanté de la corrompu. Elle grimace.
« Et moi qui essaie d'être gentille avec toi... »
Elle repose son verre mécontente se qui effraie le pauvre condamné. Il est à l'agonie ne sentant plus rien à son entre jambe, l'oeuil en feu et le nombril percé. Jamais il n'y aurait cru que cette fille lui aurait fait ça. Il veut chercher se qu'il a fait comme erreur, mais impossible avec ses douleurs qui lui préoccupe temps et d'autres choses plus importantes. Il ne peut s'empêcher de pleurer d'affliction en songeant malgré tout à sa vie, à ses amis et à sa famille. C'est la seule chose auquel il arrive à penser pour se rassurer tout de même.
Soudain, la jeune fille est les larmes aux yeux avec un scalpel dans la main.
« Pourquoi … Pourquoi t'es-tu moqué de ton ami lorsqu'il t'as avoué les sentiments qu'il avait pour moi ? Et pourquoi t'être moqué de moi alors que je t'admirais seulement … Pourquoi être méchante avec une admiratrice ? »
Il la regarde avec ses yeux de désespoir essayant de se faire pardonner. Subitement, le visage si vertueux mais triste de l'adolescente souffrante se changea en un visage de terreur digne d'un monstre voulant sa vengeance. Elle plante à de nombreuse reprise son accessoire de torture sur la joue droite de son souffre-douleur. Léo n'a plus de force pour crier, il ne peut que gémir et trembler comme une feuille. Elle se calme très vite reprenant son souffle les larmes tombant délicatement sur ses joues. La jeune se colle doucement contre celui qui lui a fait souffrir et remonte sa main vers la joue encore intact du jeune homme. Enfin, elle remonte le reste du corps vers l'endroit où est posé la main. La fille caresse doucement sa joue avec le bout de ses doigts avant de faire un sourire doux mais assez angoissant.
« Ta joue est tellement douce ... »
Brusquement, la fille ne s'attend pas à la réaction de son prisonnier. Il se retourne violemment et lui mort avec une force surhumaine le doigt. L'étrange fille hurle de panique et essaie en secouant son doigt de se libérer des dents du garçon. Après plusieurs minutes d'attentat de libération, elle décide prise par l'affolement de planter sa petite arme dans l’œil absent du garçon le plus profond possible. Il s’époumone et libère le doigt ensanglanté de la demoiselle. Cette dernière prend son doigt elle le suce automatiquement croyant que cela soignerait l'index. Vu qu'il n'y a ni de lavabo ni de désinfectant (à pars da l'alcool avec un degrés monstrueux qu'on aurait dit de l'acide chlorhydrique), la fille tachée de sang se contente de mettre un bandage. Enfin, elle se retourne vers lui avec haine. Cette dernière jette son arme coupante par terre et lui dit :
« Bon très bien, on va passer au chose sérieuse. »
La demoiselle récupère une seringue qui se situe sur le chariot en métal et s'approche dangereusement du garçon souffrant. Ses yeux s'écarquillent et gigote alors dans tout les sens. Mais impossible d'éviter la piqûre douloureuse que la demoiselle démoniaque lui plante dans le bras. Elle rigole jusqu'à se que le produit s'est enfin infiltré dans son sang.
« Ne t'en fait pas, j'ai voulu être un minimum gentille avec toi. Tu ne vas pas ressentir le moindre tiraillement que je vais t'offrir … Dommage, ça va être moins marrant.
-S-sal...
Mais avant qu'il ne finisse sa phrase, elle le frappe violemment avec son pied d'une souplesse incroyable sur la joue tranchée. Le produit ne fait pour l'instant pas vraiment effet, alors la jeune fille profite de planter son ongle sur la joue ensanglanté de Léo. Il a tellement du mal à crier, il ne sent plus de son passer à travers sa gorge. Une fois que l’inquiétante jeune fille est retirée le doigt, elle fixe alors sa victime souillée et lèche le bout de son index en sang dégoûtant sa proie.
La tueuse amène son chariot métallique près d'elle prenant une lame bien tranchante. Leo tente de déglutir péniblement ne voulant pas savoir la suite. Malgré tout, il tente une dernière fois de convaincre la demoiselle prit par la folie de la vengeance :
« A-arrête ça Manon, j-je ferai n'importe quoi pour que tu arrête de t'en suppli, laisse moi vivre ... »
La fille se retourne avec le regard doux, triste et à la fois cinique et déclare tout doucement :
« Pourquoi … Tu m'as fais ça à moi ? Juste parce que Baptiste aime une fille qui n'est pas à ton goût ? T'as aimé le faire chier avec Thomas en me critiquant dans mon dos ? Je te hais. Autant que ton pote de classe. Et vous ne méritez plus de vivre, vous irez pourrir en enfer. »
Le jeune homme presque abattu crache du sang avant de lâcher des larmes de désespoir et de supplier :
« Tu iras toi aussi en Enfer je te signale... Allez, laisse moi repartir je t'en supplie ... »
Le visage de la fille se nommant Manon change subitement avant de lui donner un coup de poing à la tête, le seul endroit n'étant pas anesthésié.
« [ce mot est considéré comme injurieux] !!! T'ES DEJA MORT fils prodigue, JE NE VEUX PLUS T'ENTENDRE !!! JUSTE TES CRIS AGONISANTS !!! »
Elle décide de défigurer un peu plus son visage appréciant ses hurlements étouffés du garçon. Son visage est de plus en plus sombre, on aurait dit que c'est un monstre. Manon déclare enfin d'une voix tremblante de haine et de folie :
« Bon … Je vais pouvoir garder quelques petits souvenir de toi … Je crois que le prochain invité sera contente de retrouver tes os ici, si tu vois de qui je veux parler. »
La pupille de Leo se rapétis soudainement et essaie de dire avec énormément de difficulté :
« N-non... PAS THO...MAS ! »
Subitement, la fille plante le couteau tranchant dans le ventre de Leo prenant soin de trancher tout le torse. Elle enlève la peau avec quelques petites contraire à cause de fil rouge ne laissant pas partir la peau. Le mourant ne sent rien, mais rien que je voir ça lui donne envie de vomir même si il ne peut pas. Il ne peut s'empêcher de regarder la scène immonde et cette fille corrompue.
C'est alors qu'elle commence par les intestins. Manon tire sauvagement pour que l'organe géant se déroule. Une fois déroulé, elle enroule autour de son coup et imite une traînée qu'aime tant Léo d'après elle, puis ensuite elle met les intestins autour du coup du garçon. Il regarde son organe avec horreur, et voit soudainement flou se fatiguant de plus en plus. Un bruit de tiraillement se fait entendre malgré le peu de son qu'il arrive à distinguer. La démone avait retiré l'estomac qui laisse couler une subtance acide au sol. Elle place ses mains sur un des poumons de la victime et le regarde avec son œil pénétrant et inquètant, ainsi que son sourire terrifiant..
« Un dernier mot avant de succomber à la mort ?
-D...d...é...s..o...l...l......l....é. »
Elle montre alors ses dents se réjouissant d'avantage avant de retirer avec difficulté et patience les poumons. Et ainsi, le cœur qu'elle prit soin de l'enlever délicatement fixant le jeune homme les yeux clos ne respirant déjà plus.
Le dernier visage qu'il aura vu sera celui de cette fille s’appelant Manon, dans un lieu abominable, dans des situations les plus pénibles qu'il soit.
C'est la fin de ce fameux Léo Mercier.
La fille enlève alors les chaînes laissant s'écrouler le cadavre anéanti du garçon. Elle le fixe avec son regard inodore avant de rejoindre un bureau afin de déposer le cœur. Un papier et un stylo immaculés de sang se trouve sur le meuble. Elle prit et clic sur son stylo pour qu'il y est la mine et barre "Léo Mercier". Elle sourit avant de laisser ses deux objets sur la table et s'essuie les mains avec un mouchoir déjà souillé.
Elle plonge dans l'ombre la plus total où elle s'éclipse.
FIN