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 John et la boîte à chaussures. [C'est ma nouvelle pour le recueil]

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Mister O



Verseau Messages : 430
Date d'inscription : 30/11/2014
Humeur : PITIE NON PAS LA MATERNELLE !

John et la boîte à chaussures. [C'est ma nouvelle pour le recueil] Empty
MessageSujet: John et la boîte à chaussures. [C'est ma nouvelle pour le recueil]   John et la boîte à chaussures. [C'est ma nouvelle pour le recueil] EmptyLun 1 Mai 2017 - 23:56

Ah que coucou !

J'ai fini par réussir à pondre un joli texte (bon, joli ce sera à vous d'en décider !), avec un peu de motivation, même s'il m'a fallu plus ou moins deux jours. Il faut dire que j'étais très inspiré

Euh, alors donc : de base, il s'agit surtout d'un exercice de style (même si je suis sûr qu'il doit y avoir moyen de retravailler mon texte, ce que confirmeront forcément les commentaires qui suivront malgré le caractère génialissime de mon oeuvre ), et je compte l'envoyer pour le recueil de nouvelles des 5 ans d'EN, après l'avoir peut-être un peu retravaillé.

Allez-y, démolissez-moi bien fort !

* - * - * - *

Même si John n'en avait pas cru un mot, tous les autres adolescents du village s'étaient mis d'accord pour dire que la maison du 4 Medoc Close était hantée. En effet, leur avait expliqué Dan : en plus d'être abandonnée - probablement depuis des décennies -, celle-ci montrait tout un tas de signes qui ne laissaient nulle place au doute ! Depuis quelques semaines, les rats avaient disparus du hameau et la vieille folle qui habitait encore dans le coin avait affirmé être parfois réveillée par de drôles de bruits qui venaient de cette maison. Il s'agissait précisément, selon elle, de grands Boooh ! Qui retentissaient la nuit.
Mais c'était une vieille folle, justement ! s'était-il emporté. Et puis, même en supposant qu'elle ait encore eu toute sa tête, elle exagérait forcément. De drôles de choses étaient peut-être arrivées dans le coin, mais quand on y réfléchissait, ce n'était pas si improbable. Les plus costauds n'osaient plus s'approcher d'ici, mais c'étaient de toutes façons des brutes sans cervelles, des froussards refoulés. Il n'aurait pas peur d'y aller, lui. Qu'on lui donne une lampe torche, et il irait voir ça de plus près.

Planté devant les briques rouges, John regrettait ses paroles. Il avait voulu faire le beau et montrer qu'il en avait dans le pantalon, mais il n'était à présent plus sûr d'être si courageux. Après tout, Dan leur avait apporté de solides arguments, qu'il avait tiré d'un authentique livre sur les fantômes que son père avait rapporté de Londres …
Ce n'était pas le moment de douter ! Un petit coup d'épaule lui suffit à enfoncer la porte, qu'il referma soigneusement derrière lui après avoir pénétré dans la vieille bâtisse.
Une fois à l'intérieur, et après quelques secondes d'adaptation aux ténèbres ambiantes, ses yeux lui offrirent le spectacle effrayant d'un long couloir sombre, que seule la lumière nocturne des pièces adjacentes éclairait. Il remarqua d'ailleurs très vite que de nombreuses portes avaient été arrachées à leurs montants - des cambrioleurs devaient être passés par là. Le papier peint, dont il pouvait distinguer les rayures, formait des tâches éparses et de tailles diverses entre les tags, sur les murs mis à nu, pelant et se décolorant à cause de l'humidité.
Tétanisé, John inspecta la pièce à coups de lampe torche dans le silence le plus complet pendant plusieurs minutes lorsque, tout à coup, un grand hululement le fit sursauter. Dans sa frayeur, il perdit l'équilibre et son bras cogna une large rampe. Ce n'était qu'une chouette, mais qu'est-ce qu'elle lui avait fait peur ! Son coeur battait à cent à l'heure. Satanés volatiles ! murmurait-il en prenant appui sur le bois à moitié pourri. D'un rapide coup d'oeil, il remarqua un escalier qui montait aux étages.

Les crack ! sinistres des premières marches, ainsi que leurs enfoncements sous ses pieds, incitèrent le jeune homme à monter quatre à quatre, et d'un pas le plus léger possible, les marches de cet escalier. Bien qu'il eut pu s'arrêter au deuxième étage et aller en explorer les pièces, il préféra monter jusque sous les combles, intrigué par une fragrance presque insupportable, qui lui piquait les narines.
Ce grenier n'était pas très grand. De l'extérieur, on avait pourtant l'impression que cette maison occupait une surface bien plus grande … Sans être exigu, sa taille surprenait John. La plupart des planches qui tenaient lieu de parquet étant trouées, ce qui le forçait à redoubler d'attention, alors qu'il cherchait à grands coups de reniflements d'où pouvait venir la forte odeur qui envahissait cette pièce.
Soudain, il entendit de drôles de petits bruits, qui devaient venir d'un peu plus loin. Bien qu'ils fussent plutôt aigus, John avait la certitude qu'il ne s'agissait pas là de couinements : les rongeurs avaient de toutes manières disparus des alentours. C'était autre chose. Des voix ? se demandait-il, avançant à tâtons dans l'obscurité. Devenait-il fou ?

Au bout de quelques mètres, John eut l'impression de trouver la source de ces rumeurs. Il dirigea sa lampe torche vers un coin, et il assista à une scène épouvantable. Là, devant lui, un énorme rat gisait, dévoré par des asticots. Le plus insolite était qu'il lui manquait aussi bien les pattes avant que celles de derrière, et que sa queue semblait avoir été sectionnée - John en voyait un tout petit bout dépassant de l'arrière-train de l'animal.
Ce n'étaient cependant pas ces vers qui provoquaient les chuchotements que John entendait ; il en avait la certitude, mais au moins, il savait d'où venait l'odeur.
Un peu plus loin à sa droite, dans le coin opposé, le jeune homme vit une silhouette parfaitement rectangulaire. Celle-ci tremblotait néanmoins comme si elle venait d'éclater de rire, et s'en échappaient des petites voix aiguës qui étaient - Il n'y a nul doute possible !, s'exclama-t-il triomphalement -, celles avaient tant intrigués John. Il s'en approcha, la lampa torche au poing ; c'était une boîte à chaussures. À en juger par son état, elle était d'ailleurs toute neuve, ce qui l'étonnait beaucoup. Plus insolite encore : elle était décorée de grandes ailes de volatiles.
Et pourquoi était-elle si agitée ? Se pouvait-il que cette boîte fut hantée, ou ensorcelée ? Alors qu'il se posait ces questions et se tortillait dans tous les sens pour pouvoir l'observer, en éclairant le moindre centimètre carré de l'objet pour trouver une explication, celui-ci semblait trembler de moins en moins intensément. Les voix, qui semblaient au début être un immense capharnaüm, qui auraient tout aussi bien pu être le fruit d'une dispute qu'une orgie géantes, s'amenuisaient elles aussi.
Lorsqu'il posa la main sur le couvercle, toute cette agitation cessa et il aurait presque pu croire qu'il avait sous les yeux une boîte à chaussures tout à fait ordinaire. Il l'attrapa et, trop prudent pour l'ouvrir, la secoua timidement. Un vague tintement rocailleux s'en échappait, sans plus. Après tout, se dit l'adolescent, il avait peut-être pris peur trop vite et se serait mis à halluciner. Avec toutes ces histoires de fantômes - qui n'existaient de toutes façons pas
Et puis, vu sa décoration, il y avait fort à parier qu'elle n'était remplie que des quelques babioles d'un artiste au délires excentriques ! Il valait mieux qu'il aille explorer le deuxième étage ; et avec ce qu'il verrait, il pourrait ressortir triomphalement de cette vieille bâtisse avec une belle histoire à raconter.

John venait tout juste de tomber sur des restes de pot de chambre lorsque les bruits retentirent de nouveau. Il n'était pas fou ! Ni une, ni deux, il décida d'abandonner la dernière pièce sans intérêt qu'il était parti explorer pour remonter au grenier.
À peine était-il en train de monter la dernière marche de l'escalier avant d'arriver sous les combles qu'une vision d'horreur attira son attention. Les larves avaient quitté leur hôte, et rampaient maintenant sur le sol. Ce qu'il y avait d'étrange, c'était que, non seulement le rat n'était pas encore totalement dévoré - loin s'en fallait ! -, mais les vers allaient tous en file indienne ; ils se mouvaient tous vers la même direction comme un seul homme : vers le fond du grenier.
L'adolescent décida de rester un peu en retrait, le temps qu'il puisse s'approcher de suffisamment près. Ces déplacements, couplés aux voix, créaient un vacarme insidieux face auquel il avait de plus en plus de mal à garder son calme. Après quelques minutes, vinrent s'ajouter des bruits de carton tombant. Intrigué, il se dirigea vers la direction que prenaient les asticots et vit, ô surprise !, les derniers d'entre eux pénétrer dans la boîte à chaussures de tout à l'heure, quasiment tous seuls, accompagnés par de drôles de petites créatures blanches, qu'il aurait tout à fait pu confondre avec tant il les voyait mal.
Il décida alors, malgré son dégoût, de prendre la boîte sur les genoux et d'en soulever le couvercle.

De manière tout à fait surprenante, John n'aperçut à première vue rien de plus qu'une abondante correspondance de cartes postales, même pas abîmée par les insectes. Sous la banalité des paysages et la qualité médiocre des écritures, se cachait néanmoins une épaisse couche de terre compacte, d'où dépassaient de petites capsules de pierre. Divers mécanismes d'horlogerie et autres ailes de chouettes gisaient également là.
Malgré les voix qui se faisaient de plus en plus forte, John, piqué par la curiosité, il décida d'arracher une des petites capsules minérales.
Ce faisant, il découvrit toute une famille miniature, dont il provoqua les hurlements. Ces dernières créatures ressemblaient à de petits êtres humains : deux bras, deux jambes, une tête … Peu de choses les différenciaient vraiment de John et de ses amis, si ce n'étaient leur taille tout à fait ridicule - ils ne devaient être ni plus grands, ni plus gros, qu'un ongle de petit doigt -, et leurs torses tous parfaitement plats. Après quelques secondes d'agitation, une petite place, sur laquelle se réunirent la plupart des créatures, se forma à la surface.

- Reposez ce que vous venez de prendre ! lui cria, du plus fort possible, celle qui semblait être le chef.
- Vous parlez Anglais ? s'étonna John, effaré par la tournure que prenaient les événements. Déjà, rien que si je m'étais attendu à croiser des Nains !
- Mais quels idiots, ces humains … s'emporta le petit humanoïde, se cachant déjà le visage dans la main droite. Nous sommes les Zlurkov ! Pas les « nains », « gnomes », « lutins », « elfes » ou que sais-je d'autre encore.
- Excusez-moi, se rattrapa très vite le jeune homme, se faisant tout petit dans un geste de recul. À vrai dire, beaucoup de superstitieux disent que toute la Grande-Bretagne est peuplée de ces derniers …
- Assez ! rugit la voix inquiète d'un de ceux devaient être leurs enfants. Il en sait déjà beaucoup trop, et tu sais comme moi que ces géants ne sont bon qu'à nous attirer des ennuis.
L'interlocuteur de John - sans doutes le chef du village - rembarra le jeune garçon d'un geste ferme, mais affectueux de la main. Bien qu'il n'eût pas encore tout saisi des enjeux que sa venue devait avoir provoqué pour ce peuple, John se sentait touché par la méfiance de ces derniers.
- Toutes ces créatures existent effectivement, et vous en êtes infestés, lui confirma ce dernier. Elles ne sont pas très commodes, d'ailleurs, mais c'est une autre histoire.
Sous la gravité de la situation, un nourrisson éclata en sanglots. Ses pleurs avaient de quoi fendre le coeur ; la situation semblait vraiment très grave. Que pouvait, que devait faire John ? Y avait-il simplement matière à ce qu'il s'implique ? Alors que ses interrogations lui passaient par la tête, l'ambiance devenait de plus en plus lourde. Ça et là, des asticots en profitaient pour échapper au feu qui leur était visiblement réservé.

Ce n'était vraiment pas le moment pour ce genre de rencontres. Alors qu'ils touchaient enfin au but, qu'ils apercevaient enfin une solution, ce rustre géant venait quelque peu contrarier leurs plans. Bien qu'il n'eut pas l'air méchant, ils ne devaient pas s'y méfier : nombre d'êtres humains s'étaient déjà montrés fourbes, et cruels avec eux. Ils ne devaient pas se laisser avoir une deuxième fois. Un des mécaniciens vint au chef du village.
- Nous allons pouvoir partir d'ici une dizaine de minutes, lui chuchota-t-il à l'oreille.
- D'accord. J'ai hâte ! J'espère que nous ne rencontrerons pas d'accros cette fois-ci.

John, dubitatif, décida de briser le premier cette messe basse :
- Que faites-vous ici ? Et d'où venez-vous ? Vous savez, on dit que cette maison est hantée depuis plusieurs semaines.
- C'est simplement notre manière à nous de nous défendre, lui répondit gravement le chef du clan. Nous nous sommes écrasés il y a peu en Écosse et ...
- Vous êtes en Angleterre, ici, précisa John, sur le point de se vexer.
Sur ce dérapage, plusieurs petites créatures en profitèrent pour descendre de la boîte. Le couvercle avait été déposé derrière eux, ce qui leur facilitait la tâche - ils n'avaient donc pas à risquer leurs vies en passant sous le nez d'un adolescent cent fois plus grand qu'eux.
- Oui, c'est cela, bafouilla le Zlurkov. Nous sommes donc coincés ici depuis un peu moins de sept semaines. J'espère que nous ne vous avons pas trop causés de désagrément ?
- Oh, si peu, balaya John en haussant les épaules. Vous savez, nous serions ravis de pouvoir vous aider !
Cette proposition provoqua un rire jaune parmi toute la population de la place.
- Merci beaucoup, mais nous nous débrouillons déjà très bien. Comme vous pouvez le voir, la culture des rats nous permet tout à fait de subvenir à nos besoins alimentaires.
Plus la conversation s'étalait, plus la remontée du couvercle progressait, de manière tout à fait évidente. Au bout de quelques secondes, John remarqua l'objet bouger.
- Je peux peut-être vous aider ? insista-t-il sans prendre en compte leur réponse, prenant déjà le couvercle en main.
- Ce ne sera pas nécessaire ; nous n'allons plus vous embêter très longtemps.

C'était bon. Leur plan allait pouvoir être mis à exécution. Ils échangèrent encore quelques phrases avec John et, lorsqu'ils lui demandèrent de déplacer le couvercle de telle sorte qu'il fut très exactement au dessus de la boîte, le jeune homme ne se doutait de rien.
- Le sortilège ! s'exclama-t-on soudainement.

Des incantations aux accents quasi mystiques sortirent de toute la boîte et, tout à coup, une immense lueur blanche prit forme devant John. Surpris, ce dernier laissa retomber le couvercle - il s'en fallut de peu pour qu'il retomba à côté -, replongeant complètement le village dans les ténèbres. L'apparition prit alors une forme vague et gracieuse, semblable à un esprit, envoûtante.
Boooh !
La boîte, quant à elle, recommença à formidablement s'agiter, telle que John l'avait vu à son arrivée, dans un vacarme fou de cliquetis mécaniques et de voix inquiètes venues de l'intérieur. Alors que le jeune homme se levait pour aller vérifier si tout allait bien, les ailes qui y avaient été greffées commencèrent à s'agiter, puis de plus en plus, jusqu'à finir par battre à l'unisson.
Alors que John contemplait le spectacle effarant d'une boîte à chaussure s'envolant vers la pleine lune, le fantôme, immense, qu'avaient lâché ces si petites créatures le pénétra entièrement, par tous les orifices que comptait sa tête.
De plus en plus lourd, John finit ainsi par s'évanouir.

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MessageSujet: Re: John et la boîte à chaussures. [C'est ma nouvelle pour le recueil]   John et la boîte à chaussures. [C'est ma nouvelle pour le recueil] EmptyDim 7 Mai 2017 - 11:34

C'est bien écrit, du coup c'est bien parfait pour un exercice de style non ?

Voilà, voilà pas grand chose à dire.
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MessageSujet: Re: John et la boîte à chaussures. [C'est ma nouvelle pour le recueil]   John et la boîte à chaussures. [C'est ma nouvelle pour le recueil] EmptyDim 7 Mai 2017 - 11:58

Bon bah faudra attendre pour le commentaire constructif AHDE
Tout ce que je peux te dire c'est que j'ai bien aimé, c'est très bien écrit. En effet il doit y avoir des choses à retravailler mais je saurais pas te dire quoi.
En tout cas je pense que ça conviendrait pour le recueil Wink

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MessageSujet: Re: John et la boîte à chaussures. [C'est ma nouvelle pour le recueil]   John et la boîte à chaussures. [C'est ma nouvelle pour le recueil] EmptyDim 7 Mai 2017 - 13:44

Je te ferai un com détaillé pour quelques petites imperfections que j'ai remarquées Sinon il est parfait pour le recueil !

Par contre la fin ouverte, je la trouve ici beaaaaucoup trop ouverte, le spectre immense paraît un peu "trop" ; on ne comprend pas pourquoi leur sortilège l'invoque, ça arrive un peu en mode "hé coucou y'a un fantôme, c'est magique" (toujours de mon avis ) et on ne sait pas du tout ce qu'il advient du pauvre John après leur départ (je veux dire, l'esprit était juste là pour le faire évanouir ?)

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MessageSujet: Re: John et la boîte à chaussures. [C'est ma nouvelle pour le recueil]   John et la boîte à chaussures. [C'est ma nouvelle pour le recueil] EmptyDim 7 Mai 2017 - 14:15

Bah moi la fin j'ai aimé, au moins ça laisse libre court à notre imagination.

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MessageSujet: Re: John et la boîte à chaussures. [C'est ma nouvelle pour le recueil]   John et la boîte à chaussures. [C'est ma nouvelle pour le recueil] EmptyLun 8 Mai 2017 - 21:34

Non mais le fantôme c'est en référence aux rumeurs du coin, qui doivent bien être fondées à un moment ou un autre (parce qu'autrement, en soi, aucun signe que cette baraque pourrie n'est hantée !) Et pour la fin ... Je vais essayer de reboucler la boucle avec les potes de John et tout. Et peut-être essayer de réécrire les dialogues (vu qu'un texte méga descriptif et tout d'un coup "*pouf !* des dialogues liminaires ! euuuuuh"
Mais merci pour vos commentaires j'ai hâte de pouvoir en lire d'autres et de pouvoir réécrire tout ça :unjournormal:

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MessageSujet: Re: John et la boîte à chaussures. [C'est ma nouvelle pour le recueil]   John et la boîte à chaussures. [C'est ma nouvelle pour le recueil] EmptyMer 10 Mai 2017 - 18:33

Ah ouiiii j'avais complètement oublié ces rumeurs ! xD Je n'ai plus rien à dire du coup Si tu réécris la fin ce sera parfait.

Bon courage pour ta réécriture

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